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Quelques témoignages

1. Procès perdu faute d'avoir connu à temps EREGEX

Alexandra est l'assistante d'Olivier. Elle est aussi son associée. Ce qui va ôter tout doute quant à son intégrité.

Lors d'une transaction financière importante, faute de pouvoir prendre l'avion tous les jours pendant plus de 2 semaines, les parties traitent par fax et lettres recommandées avec accusé de réception. Tout se passe à merveille jusqu'au jour où, plusieurs années plus tard, les partenaires de jadis devinrent parties adverses devant le Tribunal.

Alexandra et Olivier sont confiants. Ils ont respecté toutes les procédures et ils pensent gagner le procès. Il est clair que la partie adverse cherche à gagner du temps grâce à la procédure. Mais la loi est de leur côté. Cela ne fait aucun doute.

Pourtant, au moment de rassembler toutes les preuves qui les conduisent à la victoire, Alexandra et Olivier ne parviennent pas à trouver le récépissé de la dernière lettre recommandée avec accusé de réception qu'ils avaient adressé à la partie adverse lors de la transaction financière.

Alexandra passe plusieurs jours entiers à essayer de mettre la main sur ce petit bout de papier d'une importance décisive (sans lequel leur avocat ne parviendra pas à prouver leur bon droit).

Ils sont désespérés. Sans ce papier, ils perdent le procès ainsi qu'une somme d'argent importante qui risque de mettre en péril l'avenir de leur société.

Rien n'y fait. Ce document demeure introuvable. A-t-il été égaré, perdu lors du déménagement, volé ? Est-il simplement mal classé ? Nul ne le saura jamais. Mais il confirme l'idée selon laquelle "les grandes fortunes reposent sur des détails".

Si Alexandra et Olivier avaient eu connaissance et utilisation d'EREGEX avant, ils n'auraient pas perdu un temps précieux en recherche d'archivage. Toutes les preuves légales (sans exception) auraient été conservées dans un coffre fort électronique communiquant (crypté à 4096 bits et sécurisé dans un des data centers les plus sécurisés au monde) et produites sous forme de copies certifiées conformes par un huissier de justice.

C'est ainsi qu'Alexandra et Olivier n'auraient pas perdu ce procès faute de pouvoir produire la preuve légale déterminante.

Un conseil, notariez vos transactions électroniques !

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2. Un imprimeur qui n'a pas utilisé à temps EREGEX pour ses "Bons à tirer"

Alexandra et Olivier ont décidé de venir financièrement au secours d'un ami imprimeur qui croyait avoir décroché le contrat de l'année : une commande de 5 millions de brochures pour le compte d'un client de longue date.

Pour gagner du temps et rendre la chose plus agréable pour ses clients, il envoyait ses "Bons à tirer" sous format PDF, par email. Pourquoi pas si le client imprime le document, le signe, appose le tampon de sa société et renvoie le document en bonne et due forme par La Poste.

Le problème est que les gens ne font pas ce qu'on leur dit de faire, mais ce qu'ils nous voient faire. Ses clients avaient pris l'habitude de scanner les "Bons à tirer" ainsi remplis, mais au lieu de les renvoyer par La Poste, ils les scannaient puis les renvoyaient par email. Nous vivons dans un monde où tout nous incite à tout vouloir tout de suite. Nous sommes victimes de l'instantanéité !

Lorsque son client pour les 5 millions de brochures a été victime d'un redressement fiscal, il n'a pas pu honorer sa commande et a refusé les brochures sous prétexte qu'il n'avait pas signé de "Bon à tirer".

Valeur juridique de l'email... Zéro !

Valeur juridique d'un "Bon à tirer" sous PDF... Zéro !

N'importe qui peut récupérer votre signature, la scanner et l'insérer dans un document Word ou PDF !

Comme Alexandra et Olivier sont de bons samaritains (en doutiez vous ?), car ils ont eux mêmes été aidés par le passé, ils ont décidé non seulement d'aider financièrement leur ami pour qu'il puisse surmonter cette perte qui arrive au mauvais moment (à l'approche des fêtes de Noël). Mais en plus, ils ont fait découvrir EREGEX à leur ami imprimeur, pour qu'à l'avenir, il envoie par EREGEX ses "Bons à tirer". Il n'aura même pas besoin d'exiger de ses clients qu'ils lui retournent par EREGEX.

Souvenez-vous : les gens ne font pas ce qu'on leur dit de faire mais ce qu'ils nous voient faire. Si un client n'utilisait pas EREGEX, il pourrait toujours alors lui demander aimablement de retourner le "Bon à tirer" par EREGEX, pour la facilité et la sécurité d'archivage qu'EREGEX apporte. Pour la moitié du coût d'une lettre recommandée avec accusé de réception, il bénéficiera désormais du même service, mais Tout électronique, instantané et avec valeur probante du "Bon à tirer" comme s'il signait le document devant notaire ! Sans risque que le "Bon à tirer" soit perdu, détruit par accident ou volé.

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3. Un artiste peintre qui n'a pas utilisé EREGEX

Alexandra est l'agent artistique du peintre de renom Olivier.

Depuis des années, elle s'occupe de manière très professionnelle de la promotion d'Olivier en organisant les plus belles expositions, des interviews télévisées, la vente de licences de produits dérivés (cartes postales, affiches, reproductions, etc...)

Olivier est heureux ! Ses toiles de peinture sont collectionnées dans le monde entier. Il peut enfin souffler... Il vient de terminer sa plus belle série d'oeuvres en inventant un nouveau style au cours des 12 derniers mois, et il décide de partir se reposer pendant une semaine de vacances bien méritées aux Baléares pour être en forme le jour du vernissage de celle qui s'annonce comme vraisemblablement sa plus belle exposition dans l'une des galeries d'art les plus prestigieuses de la capitale. Il part l'esprit tranquille en sachant que, comme d'habitude, Alexandra va s'occuper de tout.

La priorité étant les "Ektachromes" (à faire réaliser de toute urgence par un photographe professionnel) sur demande de la compagnie d'assurance, avant de faire livrer les 30 oeuvres à la galerie. Trois jours plus tard, Alexandra est ravie. Les "Ekta" sont superbes. Elle les laisse bien en vue sur le bureau d'Olivier avant de partir pour le week-end à la campagne, afin de préparer au calme le dossier de presse. Un peu de repos bien mérité pour elle aussi avant le "jour J". Peut-être aura-t-elle le temps de faire un parcours de golf ? Sait-on jamais. Elle ose espérer.

Lorsqu'elle se rend le lundi matin à l'atelier d'Olivier, celui-ci vient de rentrer de vacances. Il félicite Alexandra en remarquant que les oeuvres ont déjà été expédiées à la galerie, mais il n'a pas trouvé les "Ektas".

Le visage d'Alexandra s'assombrit. Soudain, ses trais se tirent : elle a l'air décomposée. Olivier qui la connaît bien lui demande si tout va bien. Elle s'assoit machinalement, pour éviter de s'effondrer. Les toiles ont disparu... Et les "Ektas" aussi... La compagnie d'assurances ne va plus pouvoir assurer les oeuvres ! Une véritable catastrophe ! A son tour, Olivier vacille... Une année de sa vie a disparu...

Si seulement, il avait ouvert l'invitation par email d'un ami à découvrir EREGEX sur Internet.

Alexandra aurait pu prendre elle-même les photos numériques des oeuvres et les envoyer électroniquement par EREGEX à la compagnie d'assurances. Les preuves légales "notariées" des créations d'Olivier auraient été durablement sécurisées dans un coffre fort électronique crypté à 4096 bits, et Olivier aurait pu marquer de son empreinte l'histoire de l'art. En tout cas, apporter la preuve de la date certaine et du contenu de ses créations.

A présent, comme Olivier est un battant, et qu'il ne renonce jamais, mais en sachant qu'il s'est engagé dans une lutte effrénée contre le temps, il s'apprête à s'enfermer à nouveau pendant plusieurs mois d'affilée pour redonner vie à de nouvelles créations. Mais au fond de lui, il ressentira toujours le manque de ses 30 oeuvres de la première création... Alors qu'Alexandra se conditionne à affronter la tempête suscitée par l'annulation de l'exposition.

Leur seule consolation : la prochaine fois, ils ne prendront pas le risque et perdre beaucoup de temps et d'argent par simple négligence. Ils utiliseront EREGEX pour sécuriser durablement les preuves légales de l'existence des créations d'Olivier auprès de la compagnie d'assurances, en quelques clics.

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4. Envoi d'une lettre d'intention pour une opportunité d'affaires

Alexandra et Olivier sont tout excités !

Ils ont beaucoup d'affaires en cours mais pas assez de ressources (temps, argent) pour toutes les traiter. Ils doivent signer  des NCNDA, des IMFPA, des LOI, demander des BCL à leur banque, etc... Autant d'instruments commerciaux répétitifs mais essentiels à la bonne conduite de leurs affaires.

Habituellement, ils envoient ces documents par fax suivi d'un Chronopost (plus ou moins 50 euros à l'international, délai de livraison de 3 jours) ou d'une lettre recommandée avec AR lorsque ce n'est pas trop pressé (plus ou moins 5 euros pour un envoi national, et en espérant que La Poste ne soit pas en grève). Ils ont déjà perdu beaucoup d'argent en traitant par email (aucune valeur juridique).

Aujourd'hui, c'est samedi et ils doivent absolument faire parvenir avant lundi une lettre d'intention pour une opportunité d'affaires. Ils hésitaient à prendre l'avion, mais lorsqu'ils demandèrent conseil à un ami bienveillant, ce dernier leur fit découvrir une nouvelle solution appelée EREGEX !!! Ils n'en crurent pas leurs yeux et leurs oreilles... C'était trop beau pour être vrai !

Olivier était victime d'un dégât des eaux qui avait détruit beaucoup de ses documents et Alexandra, la belle cigale, avait programmé une partie de golf avec le bel italien.

Ils décidèrent donc de s'inscrire à EREGEX en ligne, et expédièrent en urgence leur lettre d'intention Tout électronique recommandée avec accusé de réception et valeur probante du contenu (notarié)...

Alexandra joua ensuite au golf et réalisa un parcours sans faute. Olivier passa son après midi à éponger son bureau, mais ne craignit plus de dégât des eaux à l'avenir car les preuves légales étaient maintenant archivées durablement (pour 3 années renouvelables sur une période de 30 ans) dans le coffre fort électronique crypté à 4096 bits du tiers de confiance d'EREGEX, situé dans l'un des data centers les plus sécurisés au monde (soumis à des procédures de sécurité militaire).

Moralité : Alexandra et Olivier purent profiter de leur dimanche en toute sérénité grâce à la fiabilité et au temps précieux gagné par EREGEX.

Le plus incroyable : ils reçurent dès le samedi soir par EREGEX la confirmation (notariée) de l'acceptation du vendeur de leur offre. L'affaire était conclue, pour un coût de traitement de seulement 3 euros pour EREGEX, archivage sécurisé compris !!!

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